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Reportage Exclusif de RTS sur Medespoir Turquie
Présentateur de l’émission : (00:14)
Bonsoir à vous et bienvenue dans cette émission ce soir, on va parler de femmes dans le temps présent, de deux univers de femmes, ici et à l'autre bout du monde. On va d'abord s'intéresser à l'incroyable frénésie de chirurgie esthétique qui a saisi toutes les jeunes femmes romandes. On ira ensuite à Kaboul, où les femmes doivent faire face à la haine et à l'obscurantisme des islamistes. Temps présent est un reflet de la réalité du monde, de tous les mondes. Nous assumons donc cette collision des thèmes.
Présentateur de l’émission : (00:40)
Les femmes que vous allez découvrir dans notre premier sujet vont vous surprendre. Elles ont à peine 18 ans. Elles se sont déjà fait refaire les seins, les fesses et bien sûr, les lèvres et une partie du visage. Mais cela ne les empêche pas de se revendiquer féministe. Leur inspiration vient des influences des réseaux sociaux, de la téléréalité, .... Mais elles revendiquent leur droit à la toxine botulique et à la chirurgie esthétique au nom de leur bien être, de leur confiance en elles et en leur corps.
Présentateur de l’émission : (01:05)
Laurence, notre journaliste quinquagénaire et féministe assumée, a voulu comprendre pourquoi ces toutes jeunes femmes parlent de renaissance et de nouvelle vie.
Journaliste : (1:20)
Medespoir collabore en Turquie avec un groupe de cliniques privées qui se vante d'accueillir par année 2 millions de patients étrangers, dont un quart pour l'esthétique. 10% seraient des Suisses et parmi eux, toujours plus de jeunes. C'est essentiellement pour le prix 2 à 3 fois moins élevé qu'en Suisse que Jennifer Martinez a choisi de passer par Medespoir, cette employée en restauration de 27 ans, venait de quitter le canton de Vaud pour Istanbul. Le but du voyage : s'offrir la poitrine de ses rêves.
Journaliste : (02:19)
Jennifer, ça y est alors ?
Jennifer : (02:19)
Oui, ça y est. Alors oui, je super excitée, un peu angoissée. Un peu de stress, mais sinon, j'ai hâte. Après tellement d'attente par rapport à ce complexe. .
Journaliste : (02:40)
L’agence prend en charge le transfert, l'hôtel et bien sûr, les deux jours d'hospitalisation. Le lendemain de leur arrivée. Jennifer et son compagnon, qu'il a rejoint un peu plus tard à Istanbul, ont rendez-vous avec le chirurgien. Un traducteur se charge de faire l'intermédiaire.
Traducteur de la clinique : (02:40)
Maintenant, il va d'abord vous examiner. Et puis après, on va discuter plus en détails.
Journaliste : (04:08)
Après la consultation préopératoire. Jennifer est venue pour de simples prothèses mammaires. Au final, elle se retrouve avec trois interventions sur les seins. Une liposuccion du ventre et un lipofilling. En clair, le chirurgien va lui prélever de la graisse aux endroits adipeux pour venir en rajouter là où il estime en manquer, notamment sur les hanches. Oui. Ça ne fait pas trop.
Journaliste : (04:32)
Ça ne fait pas trop ?
Jennifer : (04.34)
Non, non, non, non, parce que tout sera fait d'un coup. Donc on souffre une seule fois.
Journaliste : (04:40)
Donc ça ne vous angoisse pas ?
Jennifer : (04.42)
Pas du tout. Pas du tout. Vous n’êtes pas senti pousser à la consommation non loin de là. Il va me sculpter quoi ! Quelle femme ne souhaiterait pas se faire sculpter.
Journaliste : (05:04)
Vous n'avez pas de réserve particulière au fait qu'elles viennent se faire opérer ici, en Turquie?
Compagnon de Jennifer : (05:08)
Non, Qui suis je pour le dire ? Je pense qu’elle a raison de faire cette opération.
Journaliste : (05:20)
Le lendemain, c'est le jour J, tôt dans la matinée. Jennifer est préparée pour l'opération, une chirurgie qui durera plusieurs heures.
Jennifer : (06:22)
On se revoit à Genève dans une semaine. Je suis très satisfaite. J’ai hâte de voir le résultat définitif. La prise en charge au top et super bel accueil. Une ville magnifique aussi. Un accompagnement parfait. Un immense merci à Aram Clinic pour la prise en charge, le service, l'accueil. Je recommande à 100% Aram Clinic et Medespoir.
Compagnon de Jennifer : (07:29)
Jusqu'à maintenant tout est bien, je pense qu'il n'y aura pas de problème, ensuite, c'est juste de faire ce qu'on lui a dit en termes de port de gaine, d’hygiène, et le résultat sera ainsi somptueux.
Journaliste : (07:45)
Pour Jennifer, une nouvelle poitrine, c'était clairement la clé du bonheur. Six jours après son opération, je suis allée la retrouver à sa sortie d'avion et malgré l'inconfort de la gaine, elle avait l'air heureuse.
Journaliste : (08.00)
Résultats ??
Jennifer : (07:59)
Les résultats sont là. Je suis très contente.
Jennifer : (08:05)
On a pu faire du shopping, et nous divertir.
Speaker 2 (08:22)
Sous le survêtement, on a du mal à percevoir la transformation. Mais d'après la photo qu'elle m'a envoyée, c'est plutôt spectaculaire.
France3, suit de près une patiente de Medespoir
Présentatrice JT : (00:00)
Pour des raisons économiques, est de plus en plus de patients n'hésitent pas à se rendre à l'étranger pour se faire soigner. C'est ce que l'on appelle, vous le savez, le tourisme médical. La Tunisie, par exemple, accueille chaque année 500 000 patients au sein de Bruxelles. À Granby, on a suivi un couple originaire de l'Oise. Prises en charge par une clinique de Tunis dans des conditions de rêve.
Reporter France 3 : (00:24)
La Tunisie, son soleil, ses plages de sable fin, sa culture. Et ces paysages qui attirent chaque année de nombreux touristes français comme Aurore du Roy.
Aurore (patiente) : (00:38)
On en prend plein les yeux.
Reporter France 3 : (00:40)
Mais ce qui a décidé cette jeune Picarde à venir ici, ce sont les cliniques de Medespoir, telles que Medespoir qui pratiquent la chirurgie esthétique à des prix défiant toute concurrence. 48 heures plus tôt, elle prépare sa valise, direction Tunis. Après des mois de réflexion, elle a choisi de s'offrir une augmentation mammaire.
Aurore (patiente) : (01:03)
Suite à l’arrivée de Sasha (sa fille), on va dire que ma poitrine a changé d'aspect et j'avais envie de modifier ça, en fait.
Reporter France 3 : (01:17)
Si la jeune femme a choisi de traverser la Méditerranée pour se faire opérer malgré les réticences de son entourage, c'est parce que l'acte chirurgical coûte deux fois moins cher qu'en France. Mais une fois accueillie par des employés de la clinique de Medespoir, la pression monte d'un cran.
Assistante médicale de Medespoir : (01:34)
Ne vous inquiétez pas, c'est tout à fait logique d'être un peu stressé avant une intervention. Ce n'est pas aussi facile, mais soyez sûrs que vous êtes entre de bonnes mains.
Aurore (patiente) : (01:42)
Là, ça se concrétise. C'est la fin on va dire !
Reporter France 3 : (01:44)
La fin d'un complexe et une opération qui aurait coûté près de 5 000 euros en France. En Tunisie, le tarif de 2600 euros comprend l'acte chirurgical, mais aussi une semaine tout frais payés pour elle et son mari.
Et devant notre caméra, Medespoir poursuit son opération séduction en offrant quelques cadeaux à notre couple de français.
Reporter France 3 : (02 :09)
Et les petits cadeaux sont offerts par Medespoir ?
Assistante médicale de Medespoir : (02:12)
Oui, bien sûr.
Reporter France 3 : (02:14)
Mais pour Aurore et son mari, c'est surtout l'occasion de donner à cette opération un parfum de vacances. Avant de se rendre au pays du jasmin, Aurore s'est renseigné sur Internet. Elle a lu plusieurs avis négatifs, comme ces messages qui évoquent des ratés sur certains forums. Mais ce qui l'a finalement convaincu de franchir le pas, c'est le CV de plusieurs chirurgiens formés dans l'Hexagone.
Aurore (patiente) : (02:44)
J'ai pu consulter leurs formations, ils ont tous étudié en France et déjà débuté leur carrière en France. Du coup, ça aussi incite plus pour ce choix et ça porte énormément de confiance.
Reporter France 3 : (03:00)
C'est enfin le jour J pour Aurore. Ici, on pratique 4000 actes de chirurgie esthétique chaque mois et les rendez vous s'enchaînent pour la jeune Française. Après l'anesthésiste. Elle rencontre son chirurgien, le docteur Mezhoud, formé à Grenoble. Avec lui, elle choisit ses prothèses Bonnet D. Quelques minutes seulement avant l'opération. Le chirurgien a reçu son dossier il y a plusieurs semaines. Mais il sait qu'un suivi à distance peut comporter des risques.
Dr Mezhoud : (03:33)
C'est toujours un peu difficile d’évaluer l’état de la peau, uniquement sur des photos. Quelquefois, il arrive que le patient en consultation, s'aperçoive que la peau n'est pas comme on l'imaginait. Alors du coup, ça amène à modifier l'indication opératoire.
Reporter France 3 : (03:51)
Mais pour cette patiente, aucune contre-indication, et l'anesthésie peut avoir lieu. Quelques heures plus tard, nous retrouvons une jeune femme soulagée et visiblement satisfait du résultat. Désormais, elle croise les doigts pour que les prochaines semaines se passent sans mauvaises surprises.
Reporter France 3 : (04:21)
Le tourisme médical tente de poursuivre son développement ici en Tunisie, un pays qui accueille chaque année plus de 500 000 patients et qui tente d'attirer toujours plus de Français. La France, qui se classe au 14e rang mondial d'actes de chirurgie esthétique pratiquées chaque année loin, très loin du pays comme la Chine, les Etats-Unis ou encore le Brésil.
L’émission Tellement Vrai parle de Medespoir
Présentatrice de l’émission : (00:15)
Bienvenue dans ce nouveau numéro de tellement vrai, les témoins que vous allez découvrir souffrent d'un complexe qui leur empoisonne la vie. Qu'il s'agisse de leur poids, d'une maladie ou d'une différence physique, ils vivent dans la crainte du regard des autres et se sont peu à peu isolé de la société. Alors, arriveront-ils à se libérer de leurs complexes ? Parviendront-ils enfin à s'accepter tels qu'ils sont ? « Mes complexes me gâchent la vie, j’ai décidé de me battre.» Un documentaire Ma Production.
Journaliste : (00:38)
Au Touquet, dans le Nord-Pas-de-Calais. C'est une belle journée ensoleillée. L'occasion pour Julie, 27 ans, et son mari Cédric, 35 ans, de passer un moment en famille avec leurs trois enfants, Mathéo, Lucas et Valentin. Leur petit dernier.
Journaliste : (01:08)
A chaque fois qu'ils viennent à la plage, Julie vit un véritable calvaire. Elle n'arrive pas à se mettre en maillot de bain et préfère rester assise sur sa serviette.
Journaliste : (02:04)
Julie a pris beaucoup de poids pendant ses grossesses, jusqu'à atteindre 120 kilos. C'est à la naissance de son petit dernier, il y a quatre ans, que Julie a réussi à se reprendre en main.
Julie : (02:18)
J'ai perdu quand même près de 60 kilos, mais le ventre ne se remet pas de la peau. J'ai fait tous les sports du monde, la peau, elle, est là, le ventre final. C'est un très gros complexe, puisque ça me bouffe la vie.
Journaliste : (02:39)
Ce complexe lui gâche tellement la vie qu'elle et son mari ont pris une grande décision qui, il l'espère, va changer leur vie. Dans quelques jours, Julie subira une abdominoplastie.
Julie : (02:50)
Je rêverais de rejoindre mon mari et les enfants à la plage. C'est pour ça que je veux me faire opérer pour que je puisse porter mon maillot, qu'on s'amuse, qu'on souille, que je les regarde,…
Journaliste : (03:17)
Quelques heures plus tard, Julie a rendez-vous chez une amie pour une vente de lingerie à domicile. Ses amies ne sont pas au courant de son projet d'opération et la jeune maman aimerait leur en parler. Elle, y retrouve Esther, sa grande sœur, et Emilie, sa belle sœur. La vendeuse est venue avec des jolis sous vêtements très sexy.
La vendeuse : (03:39)
On reviendra toujours sur ce mot, vous sentir belle. C'est important de vous sentir belle.
Journaliste : (03:45)
Alors qu'elle s'extasie toutes devant ces dentelles, Julie tente de faire bonne figure. Mais encore une fois, son complexe reprend le dessus.
Julie : (03:59)
Moi, jamais je mettrais ça. C'est vrai ! ça ne va pas faire beau avec mon ventre.
Journaliste : (04:12)
C'est plus fort qu'elle. Elle craque. Pour la première fois, elle se confie à ses amis. L'occasion de parler de son projet d'opération.
Journaliste : (05:41)
Julie le sait, sa belle sœur a toujours été totalement réfractaire à la chirurgie. Elle tente de la faire entrer dans la discussion. Mais pour le moment, Emilie reste extérieure au débat.
Julie : (05:51)
Car chaque fois que je lui ai dit ta vie est dure. Je ne peux pas être comme toi, je suis une femme, mais en moyenne, je fais comme toi. Et tu vois, je n’ai pas les atouts, moi.
Journaliste : (06:05)
Demain, Julie s'envolera pour la Tunisie pour se faire opérer du ventre. Finira-t-elle par accepter son choix ? Plus l’opération approche, plus Julie est stressée. Aura-t-elle le courage d'aller au bout de son aventure ? Finira-t-elle par obtenir le corps dont elle a toujours rêvé ? Demain, elle s'envolera pour la Tunisie pour subir une abdominoplastie alors qu'elle vient de faire part à ses amis de son désir de se faire opérer.
Journaliste : (08:15)
Au petit matin, Cédric et Julie s'envoleront pour la Tunisie. Cette intervention représente un énorme investissement pour le couple qui a mis toutes ses économies.
Julie : (08:24)
Je ne suis pas stressée. En fait, je suis impatiente de me réveiller et d'avoir mon nouveau corps.
Journaliste : (08:31)
Le mari de Julie, Cédric, sera aux côtés de sa femme à l'hôpital. Lui aussi attend beaucoup de cette opération, car leur vie intime en a beaucoup souffert.
Cédric : (08:39)
Un très grand moment que j'attends. Cette fois, j'espère que ça va durer longtemps aussi pour elle et pour moi aussi. Notre couple est assez tendu quand même par rapport à tous ses complexes.
Journaliste : (09:12)
Julie s'imagine déjà avec son nouveau corps. Elle a d'ailleurs même acheté la robe qu'elle mettra après l'opération.
Julie : (09:19)
J'espère pouvoir la mettre en repartant d’ici. J'ai hâte de porter des vêtements qui sont plus sexy.
Journaliste : (09:50)
Julie et Cédric viennent d'atterrir à Tunis. La jeune femme a bravé sa peur de l'avion et n'a pas hésité à parcourir plus de 2 500 kilomètres pour dire enfin adieu à son ventre disgracieux.
Julie : (10.00)
Le voyage a été très long, mais ça fait du bien d’arriver. J’ai hâte de me faire opérer et que tout se passe bien et que je me réveille avec mon nouveau corps. Heureusement que mon mari est là parce que si j’étais toute seule ça sera plus difficile.
Journaliste : (10:26)
En couple depuis 10 ans, c’est la 1ere fois que les 2 s’offrent un voyage aussi cher. Alors avant l’intervention, ils comptent bien en profiter.
Journaliste : (10:50)
Nous sommes de retour à Tunis, nous retrouvons Cédric et Julie qui vivent une belle histoire d’amour de plus de 10 ans. Avant l’intervention le couple profite d’une parenthèse enchantée sous le soleil et devant une plage paradisiaque.
Julie : (11:48)
Au restaurant, Julie évoque son éblouissement par le repas présenté.
Journaliste : (12:05)
Avant de rentrer à l’hôtel, le couple en profite pour jouer les touristes dans les rues de la capitale et oublier le stress de l’opération de Julie, l’espace d’un instant. Un petit détour dans les souks s’impose pour repartir les bras chargés de cadeaux.
Journaliste : (12:20)
Il est 23h00, Julie et Cédric alors qu’ils ont passé un agréable moment à deux, les bonnes vieilles rengaines rattrapent le couple.
Julie : (12:29)
Je mets toujours mon pyjama dans la salle de bain, car j’ai honte d’être nue devant Cédric. Le temps d’être opérée, je verrai par la suite si je changerai d’habitudes.
Journaliste : (13:07)
Le lendemain, Julie a RDV avec le médecin pour une consultation préopératoire. Si la veille, la femme avait le sourire, ce matin, c’est une autre histoire. Elle montre un visage très angoissé et semble prendre conscience de ce qui lui attend.
Julie : (13:22)
Ce matin je suis stressée, et j’ai un peu p’tit peur mais ça va aller.
Journaliste : (13:36)
Sur le trajet qui la conduit à la clinique, Julie reste silencieuse. Dans quelques instants, elle va découvrir le lieu de son opération et fera connaissance à son chirurgien. Pour la jeune femme, c’est un grand saut dans le vide. Et elle commence à avoir très peur de ce qui va se passer.
Dr Mezhoud : (13:52)
Bonjour, comment allez-vous ? Tout va bien ?
Julie : (14:01)
Je suis stressée quand même, mais ça va.
Journaliste : (14:12)
La consultation médicale va durer plus d’une heure. Le médecin va prendre le temps d’expliquer à Julie ce qui lui attend. La jeune femme est très attentive.
Dr Mezhoud : (14:22)
L’objectif de l’abdominoplastie c’est de retendre la peau du ventre relâchée. On fait une incision tout autour du nombril de façon à ce qu’il ne soit plus lié à la peau. Après on décolle bien la peau et on la tire bien vers le bas, ensuite on coupe ce qui dépasse et on suture. Ce qui fait qu’au final il y aura une cicatrice sub-pubienne et tout autour du nombril.
Journaliste : (14:49)
Le Dr Mezhoud, chirurgien partenaire de Medespoir, est impressionné par la force de caractère de sa patiente.
Dr Mezhoud : (14:55)
Vous avez perdu combien de kilos ?
Julie : (14:57)
J'ai perdu 60 kilos, grâce à un régime alimentaire, du sport, …
Dr Mezhoud (15:20)
C’est un cas classique. Et puis, par rapport aux femmes, l’abdominoplastie est parmi les actes les plus souvent pratiqués.
Journaliste : (16:01)
Alors, comment ce chirurgien va procéder au traçage du corps de Julie ? Une étape indispensable qui lui permet de prendre ses repères, de délimiter les zones de décision et de juger la quantité de peau à enlever.
Dr Mezhoud (16:13)
Donc, dès que le médecin anesthésiste vous verra, on ira au bloc opératoire.
Journaliste : (16:20)
Il est 15 heures à Tunis. Julie est prête pour descendre au bloc opératoire. Son opération va durer un peu moins de trois heures. Trois heures pour mettre fin à un complexe qui lui gâche la vie depuis dix ans. Julie est sur la table d'opération pour subir une chirurgie du ventre avec Medespoir. En attendant son réveil. Cédric, son mari, se repasse le film de leur histoire. Comment va se passer l'opération? Le résultat sera-t-il à la hauteur des espérances de Julie ?
Va-t-elle enfin se sentir féminine et sexy comme elle en rêve depuis des années ?
Cédric : (17:15)
Je suis très stressé. Je suis inquiet. J'essaie de penser à autre chose, mais c'est dur.
Journaliste : (17:26)
Après une attente stressante et interminable pour Cédric, Julie finit par remonter dans sa chambre. La jeune femme est encore sous l'effet de l'anesthésie, mais elle est réveillée.
Journaliste : (17:56)
Julie est encore sonnée, mais l'opération s'est bien passée. Après quelques jours de repos, la jeune femme pourra enfin rentrer en France. Liévin, Dans le Nord-Pas-de-Calais, nous retrouvons Julie. Un mois après son opération. Pendant que son mari est aux fourneaux, la jeune femme se met sur son 31. Aujourd'hui, elle s'apprête à recevoir ses proches pour leur montrer son nouveau corps.
Julie (18:21)
J'ai acheté une robe, une jupe très moulante de style que je voulais porter, mais que je ne pouvais pas forcément porter avant ma chirurgie du ventre avec Medespoir. Donc maintenant, je la porte parce que j'ai envie de faire voir que je peux mettre des choses un peu plus moulantes, plus sexy. Donc là, c'est vrai que ça va être une découverte pour eux dans le bon sens.
Cédric : (18:45)
En fait, je suis en train de redécouvrir ma femme et beaucoup mieux, même encore mieux qu'avant, parce que son corps est complètement transformé grâce à la chirurgie. Et je la sens beaucoup plus confiante.
Journaliste : (19:01)
La jeune femme est totalement métamorphosée et a changé toute sa garde-robe avant l'arrivée des invités. Elle souhaite faire valider sa tenue par son compagnon, qui était super charmé par sa nouvelle silhouette.
Journaliste : (19:26)
17 heures. Les convives arrivent. Alors, pas une minute à perdre. Direction la chambre. Julie est impatiente de montrer le résultat de son opération du ventre à ses proches. Les amies de Julie sont été épatées par le résultat. Même Emilie, sa belle sœur, qui s'était montrée virulente au début de l'aventure, a changé d’avis sur la chirurgie esthétique.